La nuit n'est pas comme le jour, elle a beaucoup de souplesse
J'y plonge ma tête amoureuse d'ivresse
Monde couturé d'absences
Selon la toux, l'atroce et la transe
Heureux médiocres
Tes petits orateurs, aux enflures baroques
Suçant le vieux et la civilisation des désirs bon marché
Mêlant son ironie à ton insanité
Les pensées de la couche du dessous sont rarement belles
Autrefois nerveux, me voici sur une voie nouvelle
Siècles à venir, mon véritable présent
Il se demande ou est le la vie, parfois elle lui parait en avant
Ange plein de bonheur, de joie et de lumières
Comme l’air dans le ciel, ou la mer dans la mer
Rarement passée ou actuelle, plutôt à faire
Il la pelote, il l’oriente, il l’essaie : il ne la voit pas
Ces voiles, ces rameurs et ces mâts
Plus limpide que vide, atmosphérique
Lecteur paisible et bucolique
Orgiaque et mélancolique.
1 Comment:
Tout est dit... les maux se perdent et le mot demeure
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