Viser juste
Pour bien pointer
La goutte libre
Chute
Départ
Adieu Mozart
Stressé par la ligne rouge ?
Sauf si l’étoile est verte
Et le squelette obèse
D’un sophisme ascétique
Ton cul me parle
D’amour
Et de cul
Oui. C’est le mien aussi
Parle moi du sel marin
Qui pique au nez
Ces chaussures sont trop grandes pour mes pieds
J’ai les orteils percés
Mes lectures m’en apprennent de moins en moins
J’ai la bouche pâteuse
Et le palais en bouche
À un arrière-goût d’aurore
Une souris blanche sur un livre vert ?
J’ai la moustache qui frise le ridicule
Les mots modernes vibrent
Aux sons des molosses antiques
Tu viens d’assassiner la page, non ?
Elle ne m’en veut pas
L’automatisme se perd, je chute au point de départ
C’est le vin. Ou la robe du Christ
Christ ?
Ou Chris.
Le plus fort
Peut-être bien.
Oui… Peut-être bien la faim te prend, raccroche le téléphone
Le homard est en cuisine. Il dîne d’ail.
La page blanche est noircie, partons
Oui. J’ai faim. Et tu es ivre. Mangeons, donc.
Et admire l’artiste :
Fihg
Dpjfg
Sdpghjsfg
Sphsg
Spgjfs
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