Tuesday, February 19, 2008

Federico Garcia Lorca

L’adieu aux armes Je l’ai salué en ton nom Tristesse L’étoile s’est éteinte Soufflée par les boréales Et si le marteau frappe l’enclume D’une étoile à mille faucilles Je n’en ai pas moins pleuré Le Poète scarifié Le torse constellé de griots Poudreux Ton âme est tombée Comme un soleil Dans les nuits d'encre À Viznar les fleurs Éclosent tes larmes À chaque mousson Et le sang au sourire amer Coule toujours dans nos peines Et nos pierres portent toujours le temps Sur les coquillages de vos os Mais le 19 n’a jamais été un numéro Parce qu’il ne prétend ni aux cieux Ni aux ombres De ces papillons maléfiques

2 Comments:

Anonymous said...

C'est un poème de, ou en hommage à notre garcia Lorca mondiaL ?

Anonymous said...

En hommage.

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